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 (Samara) Plaque moi contre un meuble ikéa et dis moi des mots crus en suédois.

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MessageSujet: (Samara) Plaque moi contre un meuble ikéa et dis moi des mots crus en suédois.   (Samara) Plaque moi contre un meuble ikéa et dis moi des mots crus en suédois. EmptyVen 4 Juil - 23:57


« Tu sais, à chaque fois que quelqu’un sort un truc vraiment drôle, un truc qui me fait rire, je me retourne pour voir si ça te fais rire aussi, même quand t’es pas là, à chaque fois... »
 

Samara Jules Williams


surnoms : Sam ou bien la biatch, ça marche aussi △ ville de naissance : Los Angeles △ date de naissance : 08/04/95 △ âge : 19 ans △ statut financier : Très bonne, grâce à ses parents. △ statut social : Célibataire. △ orientation sexuelle Hétérosexuelle. △ métier/études : Recherche un travail △ depuis combien de temps vis-tu à glenwood springs : Depuis ses dix sept ans, elle est aussi partie quelques mois et elle vient de revenir. △  signe particulier : Elle est maman d'un petit garçon qu'elle n'a pas vu depuis des mois △ qualités : Sure d'elle, bosseuse, drôle. △ défauts : superficielle, égocentrique, capricieuse. △ avatar : Sasha Pieterse △ groupe : Tornades △ crédits : Merci Tumblr
pourquoi êtes vous à glenwood springs ? dA la base, Samara est arrivée en cours d’année, lorsqu’elle avait dix-sept ans. Elle n’a pas forcément choisie de venir ici mais elle avait besoin de changer d’air et partir loin de LA. C’était ça ou rien puisqu’il y a ses grands-parents ici alors entre LA et Glenwood Springs, le choix était vite fait. Samara est aussi partie il y a quelques mois, abandonnant son fils en le laissant avec son père. Aujourd’hui elle revient pour la bonne et simple raison que son fils lui manque. Pendant ses mois elle est restée loin mais là, vivre sans lui lui fait mal. L’instinct maternelle arrive-t-il mais un peu en retard ? Sans doute.
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quelles sont les tics et manies de votre personnage ? Samara n’a pas vraiment de tics ou de manies en particulier. Elle adore la pluie, elle pourrait rester un moment à regarder la pluie tomber par la fenêtre, ça l’apaise, enfin tant qu’elle n’est pas en dessous, ça va de soi. Elle est allergique aux fruits de mer depuis un an. Comment ça se fait ? Elle l’ignore mais elle est un peu dégoutée puisqu’elle adorait ça. Elle a peur des chiens, mais ça elle ne le dit à personne, elle en a honte. Personne ne sait qu’elle avait des peurs, oui, même la grande Samara, celle qui se sent limite invincible a des peurs.
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avez vous subit la tornade ? vos proches ? Elle était là oui mais elle n’a rien eu, à l’abri lorsqu’elle a eu lieu. Fort heureusement vous allez me dire parce qu’elle était enceinte à ce moment-là. Sa cousine a été blessé, mais elle est en vie aujourd’hui, c’est le plus important. Samara connait quelques malheureuses victimes, en même temps en étant sociale, il y avait de forte chance que malheureusement, elle connaisse des personnes et perde des amis. Aujourd’hui elle s’en ai remis mais ça l’a touché même si elle ne le montrait pas forcément. En tout cas, il n’y a pas à dire, lors de la tornade, Samara a véritablement eu peur. Elle est bien heureuse que tout soit derrière eux aujourd’hui.


« moi, c'est Petit_Biscuit »
prénom : Cléo △ âge : 19 ans △ pays : France △ comment as-tu connu le forum ? On l'a créée héhé △ comment le trouves-tu ? J'vous en pose des questions ?  (Samara) Plaque moi contre un meuble ikéa et dis moi des mots crus en suédois. 288936755  △ fréquence de connexion : 7/7jrs. △ personnage inventé ou scénario : Inventé △ mot de la fin :  (Samara) Plaque moi contre un meuble ikéa et dis moi des mots crus en suédois. 1140890858  (Samara) Plaque moi contre un meuble ikéa et dis moi des mots crus en suédois. 803866925  (Samara) Plaque moi contre un meuble ikéa et dis moi des mots crus en suédois. 195812114  (Samara) Plaque moi contre un meuble ikéa et dis moi des mots crus en suédois. 4185937231 .

Code:
<tk>SASHA PIETERSE</tk> △ <ps>Samara J. Williams</ps>


fiche de plumyts


Dernière édition par Samara J. Williams le Dim 6 Juil - 14:19, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: (Samara) Plaque moi contre un meuble ikéa et dis moi des mots crus en suédois.   (Samara) Plaque moi contre un meuble ikéa et dis moi des mots crus en suédois. EmptyVen 4 Juil - 23:57


« Te raconte pas d'histoire t'as le cœur entre les cuisses. »

« Tu veux jouer avec moi ? » Une petite fille blonde se trouve à l’école et ne trouve pas avec qui jouer. Ses copines jouent à la poupée et vu qu’elle n’a pas pu faire le scenario qu’elle souhaitait, tant pis pour elle, elle trouvera quelqu’un d’autre pour jouer avec elle. De toute façon tant que ce n’est pas pour jouer à la petite voiture, ça lui va parfaitement. La petite Samara a toujours été du genre à bien s’entendre avec tout le monde, du moins en principe. Disons qu’elle parle avec tout le monde en étant très extraverti mais elle se fout souvent d’eux, fait sa chipie avec elle. Chez elle c’est bien simple, c’est la petite princesse chérie à ses parents qui feront tout pour elle. Entre son père chirurgien réputé dans l’hôpital de Los Angeles et sa mère qui est à la tête de sa propre société de décoration d’intérieur, ils n’ont pas le temps pour leur fille mais quand c’est le cas, les cadeaux, les mots d’amour ou encore les mots pour lui dire à quel point elle est la plus belle, la meilleure, ça allait. Autant dire que cela n’a pas aidé la chipie de Samara. Pour elle, c’est la meilleure, après tout ce sont ses parents qui l’ont dit et ils ne disent jamais de mensonge voyons. Du coup elle se croit supérieur, est une princesse pourri gâté et si on ne l’aime pas, elle fera tout pour faire regretter à ses personnes. Alor dans la cours de récréation, soit on la craint, soit on s’amuse bien avec elle. Là c’est vers un petit garçon qu’elle est venue. En général elle n’aime pas les garçons, elle trouve qu’ils ne servent à rien et se la pètent un peu trop mais lui, elle ne connait pas trop, c’est le seul nouveau de son école publique qui a l’habitude d’accueillir toujours les mêmes enfants au fil des années. Le petit garçon est seul et pourtant quand elle est venue lui demander cela, il s’est contenté de lui dire « Non, j’ai dit que j’irai jouer à la balle au prisonnier avec Brandon » Brandon ? Celui de la classe supérieur qui lui a tiré les couettes la semaine dernière ? Alors comme ça il va jouer avec lui, ce qui fait de lui son ennemi. « Ok, tant mieux de toute façon je ne voulais pas jouer avec toi, t’es moche » Oui, adorable, du Samara tout craché.

« Mlle Williams, est-ce que vous pouvez rester quelques minutes, j’ai à vous parler. » Tout a commencé ainsi, le prof préféré de tous les lycéens lui a demandé de resté à la fin du cours, lui a proposé de monter un projet pour les autres élèves. Il a utilisé les bons mots, dire à quel point tout le monde l’aime, qu’elle est l’une des plus populaires de l’établissement. Un projet de monter un voyage pour tout le monde. Il a dit que c’était le proviseur qui lui a dit de faire ceci, ils devaient se voir tous les soirs, tout se passait extrêmement bien. Enfin ça c’était jusqu’au moment où il a commencé à se rapprocher, un peu au début puis de manière plus flagrante au final. Même si Samara était une grande séductrice malgré le fait d’être en couple, cela la gêné. Elle faisait comme si de rien n’était, comme si elle n’avait pas vu son petit jeu, essayant de se concentrer au maximum sur ce qu’ils avaient à faire et non pas à ce qu’il tentait de faire. C’est un soir qu’il est apparu plus direct. Ses gestes qu’il essayait de faire dans la discrétion avant n’étaient plus si discret. Non Samara ne s’est pas fait de film. Pendant des semaines il a essayé d’aller plus loin qu’une relation prof élève, des semaines qu’elle n’a rien dit. Samara ne l’a dit à personne et après coup elle le regrette. Elle s’est éloigné de son petit ami Liam qu’elle connait depuis presque toujours, n’était pas la peste de d’habitude mais ça personne ne l’a vu. Elle pensait se faire des films, que c’était juste un prof proche des élèves et seulement cela. Pourtant ce soir-là, il n’y avait aucun doute. Il commençait à faire tard. Etant en hivers, la nuit tombait plus tôt et les couloirs étaient presque déserts. C’est ce soir-là qu’elle a vu son vrai visage, même ses derniers temps elle ne l’avait pas vu mais cette soirée restera malheureusement gravé à tout jamais dans son esprit. C’est durant cette soirée qu’il s’est montré insistant, qu’il ne voulait pas lui laisser le choix. C’est ce soir-là qu’il l’a insulté de tous les noms alors qu’elle essayait de se dégager de son emprise. D’après lui c’était une marie couche toi là, elle l’a dragué, lui a fait du charme alors que c’est faux. En couple ou pas en couple si elle lui avait fait du charme elle ne se retiendrait pas en voyant le feu vert. C’est ce soir-là qu’il la sali, qu’il a sali son nom en le prononçant. Par chance, elle a réussi à se débattre au dernier moment, elle s’est enfuit et ne s’est jamais retourné. Même s’il n’a pas eu le temps d’y aller jusqu’au bout, même si cela ne reste qu’une tentative, psychologiquement Samara a souffert, plus souffert qu’on ne peut l’imaginer. C’est ainsi qu’elle est rentrée chez elle. Etant seule elle a fermé sa porte à double tours avant de se réfugier dans son lit et ignora des appels durant des jours. Ses parents la pensaient malade jusqu’à ce qu’elle fasse ce genre de révélation qu’un parent ne souhaite jamais entendre de son propre enfant. « Mr Henton a tenté d’abuser de moi sexuellement. » Ni une ni deux ses parents ont porté plainte contre le professeur et ils l’auraient aussi fiat contre le lycée si elle ne les aurait pas découragé Le monstre dans cette histoire c’est Mr Henton et non pas le lycée privé dans lequel elle a fait toute sa scolarité en tout simplicité jusqu’au maintenant, là où elle avait son petit ami et ses amis… Du moins, c’est ce qu’elle pensait en tout cas…

« T’as vu ? C’est elle ! » Tous les regards sont tournés vers elle. Ce n’est pas quelque chose que la dérange à l’ordinaire puisqu’elle a l’habitude, mais ce n’est plus pour les même raisons. Avant, on la regardait car elle était la « reine » du lycée, tout le monde l’appréciait, l’enviait parce qu’elle était la fille du grand Dr Williams, qu’elle faisait la princesse et que personne n’osait la remettre à sa place, mais aujourd’hui, elle est jugée. Elle n’a rien fait de mal, bien au contraire, c’est à elle qu’on a fait du mal, qu’on a sali le nom en essayant d’abuser d’elle et elle qui doit se défendre envers et contre tous lorsque personne ne la cru. Qui aurait pu penser que le prof préféré des élèves, enseignant ici depuis plus de dix ans était un violeur et obsédé par les jeunes ? Personne et justement, c’est ce qu’il lui a fait à elle. Pourtant à la base elle l’appréciait, elle le considérait limite comme un modèle et en une fraction de seconde, il avait changé cette opinion qu’elle avait de lui. Après des semaines à te battre pour que tout le monde la croit, que cette ordure se fasse virer et que justice soit faite, tout le monde continuait de la prendre pour la menteuse que pour une fois elle n’était pas. Pourtant, Samara a appris qu’elle n’était pas la seule victime de ce salaud, mais pourtant elle était la seule à vouloir justice et qu’on prenait aujourd’hui pour la peste qui a privé tous les lycéens de leur prof préféré. Alors qu’elle avancé vers son casier pour prendre ses bouquins et allait suivre son prochain cours de mathématiques, la tête haute, elle avait vu toute sa bande d’amis, ceux avec qui elle passait le plus claire de son temps, la regarder de haut, comme si elle n’était personne de respectable à leurs yeux. « Qu’est-ce que tu fous là Williams ? » C’est censé être sa meilleure amie qui lui demande ça, comme si le fait qu’elle continu les cours soit un crime. « Bah j’vais en cours, ça se voit pas ? » Demande-t-elle, pour une fois d’une voix tout à fait calme alors que d’ordinaire, le simple fait qu’on lui parle comme ça l’aurait énervée. « Tu n’as pas ta place ici, je parle au nom de tous. Personne ne veut de to après ce que tu as fait ! » Samara regarda autour ‘elle, tout le monde les regarde et tous semblent du même avis, même son petit ami qui n’est pas loin et qui regarde le sol. « Je ne suis pas comme vous, je ne vais pas fuir. » Puis Sam prit la direction du casier, récupère ses bouquins et va en classe alors que tous semblent abasourdis par le fait qu’elle soit toujours là. Cette journée de cours a été pour elle, la plus longue de sa vie !

« S’il vous plait, j’ai besoin de partir, loin de LA ! » Elle était en pleure, suppliant ses parents d’accepter qu’elle parte de la ville de Los Angeles pour continuer les cours ailleurs. Ses parents ne l’ont vu qu’une seule fois pleurer comme ça, lorsqu’elle leur a annoncé qu’un prof a essayé d’abuser d’elle après les cours. Ils ont d’ailleurs été les seuls à la croire dès le départ et à la soutenir dans cette épreuve difficile. Cela faisait des jours que Samara refusait de remettre un seul pied à l’école. Elle fuyait, oui pour une fois elle fuyait car le simple fait d’y aller la rendait malade. Personne ne lui parlait, une première, tous la jugeait. Ni ses amies, ni son ex petit ami, du moins elle pense qu’il l’ait puisqu’il n’est pas venu une seule fois vers elle et il suit le mouvement en la critiquant ouvertement et en disant d’elle qu’elle est une menteuse. Ne voulant pas arrêter les cours, elle préfère donc changer tout simplement d’établissement mais loin de la Californie. « Tu ne veux pas plutôt changer tout simplement de lycée ? Il y a une autre école privée très bien vers Beverly Hills, je connais le directeur je pense que tu pourras y aller dès lundi » Elle est catégorique sur un point : changer de lycée en restant ici n’y changera rien, absolument rien du tout. Aujourd’hui avec Facebook et Twitter, ce n’est même pas la peine, les lycéens des autres lycées seront vite au courant et tout recommencera pareil. Samara serait jugée dès son première jour sans même qu’ils ne connaissent toute l’histoire. Ses parents auraient aimé pouvoir l’aider, après tout elle est leur princesse pour eux mais ils ne peuvent pas quitter leur travail ou demander une mutation ailleurs pour déménager pour ses beaux yeux. Ils ont leur vie ici, contrairement à elle qui n’a absolument plus rien ici. La seule chose qui la retient ici, c’est ses parents et le fait qu’elle soit trop jeune pour prendre ce genre de décision. T’envoyer dans un internat leur est impossible pour eux puisqu’ils ne veulent pas qu’elle se retrouve seule, sans un œil d’adulte familier sur elle comme si elle avait besoin de ce genre de chose. Elle est grande et a traversé assez d’épreuve pour savoir se gérer. Pourtant, il faut qu’ils trouvent une solution et vite car rester ici n’est tout simplement pas envisageable, elle ne peut pas rester. Elle ne peut pas être heureuse ici, ils le savent. D’ailleurs même son psychologue essaye de les convaincre de l’envoyer quelque part car selon lui elle ne pourra plus jamais s’épanouir dans la ville des anges. Heureusement, son père a fini par trouver une solution. « J’ai téléphoné à mes parents, ils sont d’accord de t’accueillir chez eux, avec ta cousine à Gleenwood Springs ! » Samara ne connait que de nom cette ville du Colorado. Elle est proche de ses grands-parents mais elle n’est jamais allé chez eux depuis qu’ils ont eux aussi quitté Los Angeles, c’est eux qui faisaient le déplacement pour qu’ils se voient. De toute façon, ils auraient bien pu habiter au Pôle Nord qu’elle aurait tout de même accepté. Et c’est ainsi qu’elle quitta Los Angeles, sans le moindre regret et ni même en se retournant une seule fois.  

« Samara est-ce que tu peux ramener ça à la cuisine ? » Samara se trouvait là, chez ses grands-parents, dans la maison qui est également la sienne désormais. Voilà maintenant quelques semaines que la belle blondinette a posé ses bagages à Gleenwood Springs. Bien loin de la vie californienne qu’elle a l’habitude de côtoyer puisqu’elle y a vécu jusqu’à maintenant, cela lui fait tout drôle mais cela lui fait aussi du bien. Non non  ce n’est pas le vent frais, l’air beaucoup moins pollué que la pollution qu’elle respirait tous les jours ; c’est tout simplement que se retrouver ici, loin de ses anciens amis, ça lui fait un bien fou. Ses parents lui manque oui c’est sûr mais elle peut retrouver la liberté de redevenir la femme qu’elle était autrefois. La garce égocentrique ? Oui en quelque sorte mais chut c’est un secret, elle a promis à ses parents de ne pas faire de bourdes, d’être « sage » e de ne pas entrainer les mêmes ennuis qu’avant. Oui malgré le fait qu’ils la considèrent comme une princesse, ils connaissent leur vrai coté de leur fille avec les autres. Quoi qu’il en soit elle leur a quasiment promis de faire des efforts, de s’ouvrir aux gens au lycée et d’être gentille alors elle l’est… en apparence en tout cas. Devant ses grands-parents, elle est gentille, aimable, serviable mais au lycée c’est redevenu la même. La fille qui pète plus haut que son cul et qu’on aime ou qu’on déteste. Les couloirs du lycée, d’un lycée à un autre c’est pareil, c’est son terrain de jeu préféré. La Samara faible qu’elle a été n’est plus là, elle est de retour et cela signifie qu’elle va beaucoup mieux. Qui va s’en plaindre alors ? Personne bien sûr. Bon ok, les personnes qui reçoivent sa foudre mais qu’ils s’estiment heureux, cela veut au moins dire qu’elle fait un tant soit peu attention à eux.

« Samara tu viens à la fête demain soir ? » Samara est bien connue pour participer à toute les fêtes, que ce soit les fêtes de lycée ou même celles étudiantes puisqu’elle a tendance à fréquenter des amis plus vieux qu’elle. Seulement cette fois, elle a refusé. « Non demain je ne peux pas, je dois rester avec mes grands-parents, problème de famille qu’il faut qu’on règle, je t’expliquerais. » Enfin elle n’expliquera rien du tout, elle repousse juste pour se trouver une bonne excuse. Heureusement son amie ne connait pas ses grands-parents, sinon ils sauraient qu’ils ne sont pas là demain soir, ni les deux jours suivant parce qu’ils partent en week end. Sa cousine elle aussi elle n’est pas là, c’est justement pour cela qu’elle ne va pas faire la fête, l’occasion d’avoir la maison pour elle est trop belle et n’arrive tellement pas souvent qu’elle ne peut pas faire comme si de rien n’était. Ce soir, un homme pourra venir chez elle qans qu’il y ait de risque qu’on les surprenne. D’ailleurs en parlant d’homme venant chez elle, c’est à ce moment-là que son cher professeur de sport fit interruption pour commencer le cours. L’un de ses cours préférés alors qu’autrefois, elle détestait le sport. Au début elle a commencé à bouger son cul en sport pour se faire remarquer de lui puis maintenant, c’est une manière de rester dans le champ de vision de son professeur et puis, ça lui donne ou plutôt ça leur donne une excuse pour passer du temps ensemble tous les deux sans qu’on se pose la moindre question. C’est pour cette raison qu’elle passa le cours de sport en se donnant à fond comme d’habitude et à la fin de celui-ci, elle aida à débarrasser les accessoires de sport, lui donnant une occasion de rester avec son professeur quelques minutes. « Ce soir c’est bon, j’ai la maison pour moi toute seule » Son professeur, Harrison, regarda autour d’elle avant de l’accuser du regard « Tu ne devrais pas dire ce genre de chose ici, on en a parlé, ce genre de conversation, c’est en dehors du lycée. » Samara haussa des épaules, elle le sait oui, elle fait attention de lui répondre en classe comme elle le fait avec d’autre, elle ne le regarde pas durant le cours car elle sait que si tel était le cas, elle aurait envie de lui sauter dessus. Oui, Samara entretien avec son professeur une relation qui est loin de rester prof/élève. C’est bizarre quand on sait son passé mais c’est totalement différent. Cette fois, c’est elle qui est allée vers lui une fois dans un bar quand elle l’a croisé et qu’elle y était avec une fausse carte d’identité pour pouvoir consommer de l’alcool. Une relation purement physique, du moins c’est ce qu’elle lui dit. Après tout il est marié et a un enfant mais ce n’est pas cela qui va la freiner. Au moins il n’y a pas de sentiment qui s’en mêlent, enfin normalement… Cette relation doit rester secrète cependant, en dehors du fait que sa femme la tuerait sans doute en l’apprenant, il ne faut pas que ça se sache sinon Harrison est bon pour se trouver un nouveau travail et Samara serait remise en question sur l’affaire de son ancien professeur. Du coup ils se voient, passent du bon temps ensemble, sont jaloux quand ils voient d’autre leur tourner autour ou juste poser un regard sur l’autre mais tout cela reste secret. Du moins ça aurait dû rester secret…

« Je suis enceinte ! » En prononçant ses quelques mots, Samara n’a qu’une envie, c’est pleurer. Pourtant si on connait bien Samara, on sait qu’elle ne pleure jamais, ou alors c’est soit très rare, soit elle le fait une fois seule. Là en l’occurrence, elle a envie de le faire mais se retient mais après tout, ce n’est pas pour rien du tout. Sa meilleure amie à qui elle vient de l’annoncer est complètement bouche bée. Cela fait maintenant un petit peu plus de trois mois qu’elle est enceinte, quelques semaines qu’elle le sait et c’est durant une journée shoping qu’elle l’a dévoilé à sa meilleure amie. Cette dernière ne sait pas pour leur professeur de Harrison et Samara, personne ne le sait d’ailleurs. De toute façon Sam ne sait même pas s’il y a encore quelque chose entre eux mis à part le fœtus qui grandi en elle. D’ailleurs il n’est même pas au courant qu’elle est enceinte. Ils se sont pris la tête quand elle lui a dit qu’elle pensait l’être, elle lui a dit qu’elle ne l’était finalement pas avant même de faire le test, de toute manière il ne voulait pas faire partie de la vie de leur enfant s’il existait, du moins c’est ce qu’elle a compris en tout cas. Finalement la voilà enceinte, totalement seule sans savoir quoi faire. « De quoi ? Mais, de qui ? » Samara est assez réputé pour ne pas être pudique et tourner autour de pas mal de mec, ce n’est pourtant pas pour autant qu’elle couche avec pleins d’entre eux si bien qu’elle ne connait pas l’identité du père. Non elle sait qui c’est, elle sait qu’elle n’a couché qu’avec Harri ses derniers temps même si elle lui fait croire le contraire. Pourtant, elle préfère passer pour celle qui a pleins de relations non sérieuses plutôt que de lui dire qu’elle se fait son professeur, en plus elle connait son passé, elle est l’une des seules à le savoir. « Je ne sais pas, c’est… je ne sais pas ! » Et hop, un mensonge de plus. Mais bon, vaut mieux ça plutôt que quelqu’un l’apprenne. Pourtant, plus tard Harri l’a appris lorsqu’elle s’est évanouit en cours de sport et que les urgences lui ont dit de l’accompagner puisqu’il est son prof. Il allait donc assumer et un jour il va bien falloir que ça se sache. Si au départ Samara l’a caché à tout le monde, lorsqu’elle s’est pris la tête avec la femme d’Harri et qu’elle lui a dit, cela a fait le tour de la ville mais pas des personnes qu’elle redoutait le plus, c’est-à-dire ses grands-parents et le proviseur du lycée. Toutefois, il a fini par l’apprendre parce que Samara ne sait pas tenir en place lorsqu’on la cherche. C’est lors d’une prise de tête avec une camarade qu’elle a atterri dans le bureau du proviseur. Tout s’est défilé assez vite, le proviseur apprenant sa grossesse et le fait que le père soit un professeur, le fait qu’Harri se dénonce, avoue que ce n’était pas qu’une relation purement sexuelle et donne sa démission. Samara a pu rester lycéenne la bas mais ce n’était qu’une question de temps avant que ses grands-parents et donc ses parents par la suite finissent par l’apprendre.

« Papa ? Maman ? Qu’est-ce que vous faites là ? » Samara s’était réveillée un dimanche matin, un large tee shirt en guise de haut, ce qu’elle met tout le temps lorsqu’elle est chez elle pour cacher son ventre puisque jusqu’à maintenant ses grands parents doivent être les seuls à ne pas le savoir jusqu’à maintenant. Du moins c’est ce qu’elle pense, elle en doute maintenant. En même temps vor ses parents alors que ce n’était pas comme ça et les voir la regarder comme ça la fait douter. « Ton grand père nous a appelé, nous sommes au courant pour… pour ta grossesse ! » S mère semblait dans tous ses états. Alors comme ça ils le savent et elle-même ne l’a pas deviné. S’ils sont déjà ici, cela veut dire que ses grands-parents les ont appelés il y a quelques jours, ou du moins au moins la veille en tout cas. « Je… Je peux tout vous expliquer. » Même si Samara fait sa princesse, même si c’est une garce avec les autres, ces parents, c’est sa grosse faiblesse. Elle n’aime pas les décevoir et là, c’est le cas, elle le voit dans leurs regards. « Ton prof il… il.. » Sa mère a du mal à le prononcer mais elle doit sans doute se demander s’il a abusé d’elle. Au moins ils ne pensent pas que c’est le contraire et qu’elle leur a menti. « Non, c’est totalement différent avec lui. Il ne m’a pas forcé, je suis moi-même allée vers lui et … » Elle sait que ce n’est pas suffisant, qu’ils vont trouver des reproches et ça n’a pas loupé. Entre son père qui criait qu’elle était immature d’avoir agi ainsi, sa mère lui disant qu’elle ne peut pas être mère a son âge. Tous les deux voulaient la ramener à LA avec eux mais non, il était hors de question. Harrison veut assumer sa paternité, Samara ne compte pas abandonner son enfant et encore moins retourner à Los Angeles et puis, elle a trouvé un travail en dehors des cours pour au moins être diplômé, dans une centrale d’appel. Elle est forte pour baratiner des choses, être convaincante et au moins derrière un téléphone, on ne juge pas sur son ventre qui s’arrondie de plus en plus. Alors non, elle ne partirait pas, elle prend ses propres décisions et puis, maintenant qu’elle va bientôt être maman, il faut bien qu’elle soit mature et puisse prendre ses décisions. Samara était totalement paniquée à l’idée d’être mère célibataire à son âge mais Harris lui a promis d’être là alors dans un sens ça l’a rassuré de savoir qu’il comptait rester dans sa vie lorsqu’ils auront un enfant ensemble et ce, même si ce n’était pas prévu au programme.

« Bienvenue au monde » Son fils, voilà qu’elle l’avait dans les bras après des heures de travail acharnée pour le mettre au monde. Harrison et elle savaient qu’ils allaient avoir un garçon il y a quelques mois parce qu’ils ne pouvaient pas rester dans le secret plus longtemps. C’était d’ailleurs à la seule échographie qu’elle a accepté qu’il vienne avec elle, trouvant toujours des excuses pour s’y rendre seule ou même lui dire après coup qu’il y en avait une pour ne pas qu’il vienne tout de même. Harri avait été ravi que ce soit un garçon, elle l’avait bien vu lors de l’annonce dans son regard et puis il faut le comprendre, il a déjà une fille après tout. Même si le fait d’être mère lui faisait peur, elle était heureuse, heureuse de l’avoir enfin dans ses bras, heureuse de savoir qu’il était en bonne santé et puis, il était magnifique. Elle ne sait pas si elle le dit seulement parce qu’elle a un regard maternelle mais c’est la réalité. Pourtant, ce fut deux mois plus tard qu’elle prit ses affaires et pris la décision de s’enfuir, sans un mot ni même un au revoir pour quiconque. son fils était avec son père, Samara qui était censé allé en cours après l’avoir fait par correspondance pour enfin obtenir son bac en a profitait pour préparer ses valises puis partir, comme si c’était normal, comme si elle n’abandonnait pas son fils ainsi qu’Harrison qui se retrouverait à devoir s’en occuper sans elle. Elle aime son fils, dans le fond elle aime aussi Harrison mais ce n’est point la vie qu’elle voulait. Elle voulait suivre son rêve de devenir journaliste de mode après le lycée, ou du moins après ses études, elle voulait faire la fête et non pas devoir s’occuper de quelqu’un d’autre qu’elle-même. Oui, elle était égoïste, elle le sait mais c’est sans doute mieux ainsi. Enfin non, pour tout avouer, elle ne s’est pas posé la question pour savoir si c’était mieux pour Harri et pour son fils qu’elle soit là ou pas, elle a juste pensé à sa petite personne, comme à chaque fois et elle a fui. Elle qui disait autrefois ne pas être du genre à fuir, elle l’a fait et ce pour la seconde fois. La première étant lorsqu’elle a fui Los Angeles. Samara ne pensait pas quitter Gleenwood Springs, pas dans ses conditions en tout cas et pourtant, c’est ce qu’elle a fait, en prenant une route vers l’inconnu. Elle avait de l’argent, c’est la seule chose qu’elle avait puisque contrairement à ce qu’elle pensait, ses parents ne l’ont pas déshérité lorsqu’ils ont appris qu’ils allaient être grands parents. Elle a donc de l’argent, ses affaires mais c’est tout, aucun lycée où s’inscrire, aucun appartement et boulot, non juste de l’argent et sa voiture. Fuyant vers l’inconnue, elle se sentait libre, cela lui faisait beaucoup moins peur que d’être mère. Samara a donc fuit sa vie, ses responsabilités, son magnifique fils et ce, pour Houston !  

« Tu viens chez moi ce soir ? » Se trouvant dans un café, Samara était en compagnie de son nouveau petit ami ou du moins son copain sans officialisation. Ils sont ensembles depuis peu, il y a rien de bien sérieux et de toute manière, Samara ne veut pas que ce le soit. Elle a fui pour retrouver sa liberté, ce n’est surement pas pour s’engager dans une relation avec un gars. S’amuser, c’est tout ce qu’elle souhaite. « Bah oui je te l’avais dit, enfin après ma soirée avec les filles. » Samara a réussi à se faire une place ici, finalement elle s’est inscrite à un lycée pour quelques mois pour pouvoir passer son bac. Elle vient d’ailleurs de l’obtenir, ce n’est pas trop tôt. Merci papa, maman pour avoir des contacts hauts placés qui ont pu faire en sorte qu’elle s’inscrive. Ce sont les seuls à savoir où elle est et bizarrement ils ont l’air vraiment ravi qu’elle ait fui parce qu’elle n’est plus maman à son âge, enfin en principe. En tout cas elle allait donc aller à une fête puis le rejoindre chez lui, un appartement pas loin du sien, c’est comme ça qu’elle l’a rencontré. « D’accord, ça marche ! » Dit-il avec un petit sourire. Il est bien gentil, il est même mignon mais pourtant elle n’arrive pas à se confier et à s’ouvrir totalement à lui. Il ne sait pas pour son fils, pour sa garce attitude parce qu’elle est définitivement calmé sur ce point, peut-être le fait qu’elle soit devenue maman, elle l’ignore. En tout cas il ignore beaucoup de chose à propos d’elle et ça l’arrange pour être honnête. Pourtant, alors qu’ils étaient en train de s’embrasser, un bruit ou plutôt un pleure vint tout gâcher. En effet un enfant était en train de pleurer et Samara ne put s’empêcher de penser à son fils. Sans qu’elle ne comprenne pourquoi, elle se senti immédiatement mal. Jusqu’à maintenant, jamais elle ne s’était sentie comme ça mais son fils lui manque et elle s’en veut. C’est donc tout naturellement qu’elle s’écarte de lui puis se lève. « Attend, qu’est-ce qu’il t’arrive ? » Attrapant son sac à main, elle était prête à partir chez elle. Elle a besoin de le voir, elle a besoin de retourner à Gleenwood Springs. Elle ne comprend pas, mais elle se sent obligé, elle en a véritablement besoin. « Je… Je dois retourner chez moi… » Chez elle, il ne sait même pas ou c’est « Je dois retourner voir mon fils. Je suis désolée, adieu. » C’est ainsi que sur un coup de tête elle refit ses bagages et revint à Gleenwood Springs. Elle vient à peine de revenir, n’a aucun endroit pour vivre mais la seule chose qu’elle veut c’est revoir son fils et Harrison.


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