Ma mère était une prostituée. Son histoire est très longue, mais nous n’avons pas besoin de la savoir pour connaitre mon histoire. Je suis né à l’hôpital, enfin dans un hôpital et c’était tout ce que  j’en sais. Je n’ai jamais demandé où et comment. Mon géniteur était un de ses clients, donc ma mère ne pouvait pas savoir qui était vraiment mon père. Et encore une fois, je n’ai jamais cherché à savoir. Elle n’eu pas le choix de me garder, malheureusement pour elle (au fond, elle n’était pas si cruelle, c’était un meurtre pour elle de m’avorter, elle préférait donner la vie), alors elle dû travailler plus pour pouvoir me nourrir. Malheureusement, celle-ci se droguait beaucoup et couchait souvent avec son dealeur qui était quelqu’un de très agressif. Il la frappait souvent lorsqu’elle lui tenait tête et lorsque j’arrivais à marcher, donc vers mes un an, il s’en prenait également à moi. J’ai quelque souvenir de cette période. Des flashs, lorsque je dors. Et c’est souvent ces nuits les plus affreuses pour moi.

Alors que ma mère se retrouva pour là millième fois à l’hôpital pour avoir eu un accident de voiture (car après s’être drogué, il lui arrivait très souvent qu’elle finisse à l’hôpital), les services sociaux sont venus me chercher, âgé de trois ans, pour m’emmener dans un orphelinat, trouvant qu’elle  mettait en danger ma vie et qu’à trois ans, on a besoin de vivre une vie normale. Ma mère ne me chercha pas, savant que je serais en sécurité et aurais une meilleure condition de vie là-bas qu’avec elle et ce dealeur. Mais j’aurais quand même voulu que ma mère vienne me voir alors, je pensais qu’elle m’avait abandonné. Sachant qu’à trois ans, on ne comprend pas vraiment ce qu’il se passe. Mais je ne lui en voulais pas, car je l’aimais plus que tout, l’amour d’un fils pour sa mère est indestructible, je lui pardonnerai toujours, quoiqu’ils fassent.

Vers mes cinq ans, la famille Grey-Everdeen m’adopta. Au tout début, je ne s’attachai pas à cette nouvelle famille, voulant toujours que ma mère vienne me récupéré, et je restai dans mon coin. J’aimais ma mère et je ne voulais pas la remplacer. Et puis, si je m’attache, ils ne vont peut-être plus avoir envie de moi, alors après je vais encore me sentir mal. Tout ne peut qu’être de ma faute, c’était ce que je pensais à cet âge là. C’était une famille riche, la maison, enfin la villa m’avait impressionné. A première vue, ils avaient l’air gentil, mais la maison était beaucoup trop grande, je pourrais me perdre. C’était très clair et très joli, j’avais peur de tout abîmer. Bien sur, on me rassura bien vite.

Cependant, le papa Grey voulu se marier avec la maman Everdeen et on m’avait demandé d’être son témoin, lorsque je n’avais que huit ans. Je lui dis que je ne savais pas comment il fallait faire, après tout, je ne savais pas comment tout cela marchait, ma mère ne s’était jamais marié et j’avais surtout peur de faire rater la cérémonie, de gâcher son mariage. Mais j’étais quand même fier qu’il me demande de l’être. Alors que papa Grey pouvait demander à son fils de 21 ans mais si j’avais bien comprit, il avait quitté la maison il y a longtemps. Alors Monsieur Grey, Steven, resta plusieurs jours avec moi pour m’apprendre à comment faire un bon témoin ainsi qu’un bon fils. Il faisait toujours en sorte que je ne pense pas que je gâcherai le mariage. En étant son témoin, je ne pouvais que rendre le jour spécial. Je m’attachai à Steven et commençai à le considérer comme mon père. Steven m’avait toujours considéré comme son fils, et le lien se renforcer de jour en jour.

Avec Steven c’était facile, avant je n’avais jamais eu de père, même si parfois, je pouvais avoir peur qu’il me frappe. Mais pour Katerine, maman Everdeen, enfin maintenant maman Grey, j’avais beaucoup de mal. Je n’oublierai jamais ma maman blonde. Katerine était brune et elle voulait toujours savoir comment j’allais, elle était vraiment une maman poule, alors que ma maman ne l’était pas, elle ne pouvait pas puisqu’elle fessait en sorte de gagner de l’argent pour nous. Elles étaient très différente l’une de l’autre. Mais toutes les deux m’apportaient tout l’amour qu’un enfant pouvait avoir. C’était plus tard que je le compris. Je n’étais pas désagréable avec elle, mais je faisais toujours en sorte de ne pas m’attacher à elle, de ne pas la considérer comme une maman. Je n’en avais qu’une, celle qui m’a portait pendant neuf mois (peut-être moins) et qui s’est battu pour nous, même si elle m’avait laissé partir sans me retrouver. Peut-être qu’au fond, je l’attends encore. Je ne cesserai jamais d’avoir espoir. Elle avait peut-être peur, qui sait. Je lui trouverai tout le temps des excuses, elle ne pouvait qu’en avoir une bonne car je me rappelle très bien qu’elle m’aimait.

La famille Grey était riche, enfin c’était surtout Steven qui l’était car il était PDG d’une grande entreprise de moteur pour véhicule, à Chicago, mais il a fait un bureau à Glenwood Springs pour gérer son entreprise. Alors Katerine avait décidé de ne pas travailler pour rester avec moi. C’était étrange, j’étais plus proche de Steven qui n’était pas toute la journée à la maison contrairement à Katerine dont je n’étais pas très proche. C’était surement au fait que ma vraie mère non plus n’était pas tous les jours à la maison. Parfois même qu’elle me laissait seule à la maison et je me débrouillais pour manger, ou pas, quand elle partait travailler toute la journée et la nuit. Avec Katerine, je ne mourrais jamais de faim. Je ne savais même plus ce que c’était qu’avoir faim. Une vraie maman poule.

Lorsque j’étais à l’orphelinat, j’avais une école intégré et tout le monde était dans le même cas que moi mais en arrivant dans cette nouvelle famille, je du aller à l’école publique. Seulement, les enfants là-bas ne faisaient que de m’embêter sur le fait que j’ai été adopté et je restais seul, ils étaient vraiment méchants, parfois, ils disaient des choses horribles et ça me faisait énormément mal. Alors, je me cachais sous mon lit pour ne pas aller à l’école. Katerine comprit que je n’aimais pas y aller, ne savant pas pourquoi puisque je ne parlais pas. Alors elle fit en sorte que  j’ais des cours particuliers à la maison. Au tout début, j’eu un peu de mal, mais après avoir vu aussi une psychologue, j’eu plus de faciliter pour m’exprimer. Mais lorsque quelque chose ou quelqu’un était contre moi ou pourrait me porter préjudice, je ne disais plus rien. Je me renfermais comme une huitre et aussi vite lorsqu’on me piquait ma perle. Ma perle et mes pensées si on peut dire.

Cette psychologue m’avait beaucoup aidé. Elle me connaissait depuis que j’ai intégré la famille Grey. J’ai du même la voir avant d’aller dans cette famille. Avec l’habitude, j’étais moins timide et je grandissais.  Je me devais d’avoir confiance en elle et pourquoi avoir peur d’elle ? Elle ne voulait que mon bien, elle ne voulait que m’aider. Pourquoi être contre elle ? Je compris aussi que tant que je ne lui parlerais pas, je devrais la voir, aussi longtemps qu’elle en jugera nécessaire. Bien sur, je ne l’a voyais pas en dehors de son cabiner, mais lorsque la situation était urgente, elle venait à la rescousse, un peut comme super-girl. Enfin avec le temps, je la voyais plus comme Wonder-Women ou Catwoman. En gros, une super-héroïne. Ma super-héroïne en jupe et talon. Elle était même devenu une amie de la famille et ça lui arrivait de manger chez nous, mais lorsque je fus un adolescent, je ne voulais jamais manger avec elle à table, je partais dans ma chambre, ou allait chez un ami. Je la voyais assez souvent comme ça, ce n’était pas pour l’entendre blablater avec ma mère. Surtout que ma mère voulait savoir des trucs que je ne dis qu’à ma psy. Mieux vaut ne pas être là lorsque je devrais les entendre parler de moi. Il se trouve que je m’emporte très vire. Encore un fois avec le temps, je changeai et restai à table. Au début, je ne disais rien, ayant toujours un peu de mal à avoir une nouvelle routine, mais avec l’habitude, ça allait tout seul. Puis en étant proche d’elle, j’avais de plus en plus de facilité à lui parler.

Pour le lycée et mes études, on m’avait suggéré de ne plus prendre de cours particuliers et que je devais affronter le regard des autres et de me dire que ma vie valait mieux que le leur, ceux qui se moquerait de moi seront les plus faible. Je devais avoir un mental d’acier, bon je l’eu un peu trop ce qui me transforma en une personne très confiante, maintenant on dit que j’ai un sale caractère. Disons que je peux enfin être la personne que j’ai toujours voulu être, une personne forte, qui ne montre pas ses émotions et qui n’a pas peur des autres. De plus, le lycée était très différent, un peu plus mature, mais ils jugeaient vite sur l’apparence, et j’étais riche, bien habillé et avait une décapotable, tout le monde veut être mon ami. On me laissait tranquille pour cette histoire d’adoption c’était tout simplement parce que j’étais vite devenu populaire en intégrant l’équipe de basket de mon lycée. J’étais même devenu le capitaine étant un très bon joueur. Et les filles me couraient après (même les garçons, oui, je suis très ouvert) parce que je suis plutôt beau gosse. J’avais demandé à mon père de cacher mes plus grosses cicatrices que m’avait faites le client à ma mère lorsque j’étais jeune, par des tatouages.  Il avait eu du mal à l’accepter mais je lui avais dit que je serais plus fier de mon corps. Je profitai vite de cette célébrité au près des filles pour perdre mon pucelage, que j’ai perdu dans les bras de cette cher Eleanna. Mes potes de basket disaient que si je la perdais, je deviendrais un vrai homme. Lorsque je l’ai perdu, je ne voyais aucune différence, j’étais resté le même, je ne m’étais pas sentit devenir un homme.

Etant proche de mon père et ayant mes seize ans, je lui demandai si je pouvais travailler dans son entreprise. Au tout début, je commençai par fabriquer les moteurs, comme simple ouvrier. J’aimais bien ça, pouvoir utiliser mes mains et mes muscles, je n’avais pas à utiliser ma tête, ou de temps en temps. C’était devenu un passe temps, un temps libre, où je pouvais libérer mon esprit. Puis avec le temps et en commençant mes études, je montai vite dans la hiérarchie et à la fin de mes études, qui ont duré 3 ans, que j’ai passé à Chicago, je devins l’assistant de mon père. Mais je pouvais continuer à fabriquer des moteurs, à les réparer et retaper des voitures. Il me fallait un passe temps.

Malheureusement, je ne pouvais pas utiliser cet argent que j’ai gagné pendant que je travaillais pendant mes études, puisque je n’avais pas encore de loyer à payer (merci papa et maman) alors, un jour où je me baladais dans les rues de Chicago, je tombai sur une course de voiture illégale. Forcément, aimant l’adrénaline, le danger, et les mauvaises choses, j’entrai dedans et ne voulut plus en ressortir. Bien sur, c’était mon secret à moi tout seul et aux personnes que je rencontrais en faisant cela. Et grâce à mon savoir faire pour les moteurs, je savais comment augmenter les moteurs pour que la voiture ait plus de puissance. Je savais comment gagner les courses en quelque sorte. Mais du coup, je gagnais plus d’argent, comme si que je n’en avais pas assez. Car dans l’entreprise à mon père, on est bien payer, mais pour des ouvriers. Mais à la fin de mes études, je rentrais à Glenwood et j’arrêtai mais courses. Bien que je sens que ça peut me manquer.

Après le lycée, je continuais de profiter des femmes, et pourquoi pas des hommes, pour tenter toutes les expériences. Je ne peux pas laisser filler une femme avec qui je voudrais coucher sans avoir couché avec elle. Pareille pour un homme. Je suis un vrai dragueur, et je n’ai pas besoin d’inventé une vie, je montre juste ma montre en or, et ils sont à mes pieds. Bien sur, il y avait quelque exception, et ça m’énervait. Je n’aimais vraiment pas qu’on me dise non. D’ailleurs, pourquoi me dire non ? J’ai de l’argent, je peux rendre la vie des autres biens meilleurs.

Je fais surement partit des hommes les plus sexy et les plus riche de la ville, ainsi que d’être le plus jeune homme sexy et riche. Je dois même être le seul. J’en profite et j’aime ça. J’aime avoir le monde à mes pieds et que personne ne me dise non au risque de faire un gros caprice.  J’aime qu’on me regard, qu’on m’admire, mais je n’aime pas parler de ma vie privé, d’ailleurs, j’en voulais un peu à mon père d’avoir révélé aux journaux que j’avais été adopté. Je n’invite jamais des filles aux Gallas, en soirée ou autre, je n’aime pas mélanger vie privé et vie professionnelle. Je n’aime pas faire scandale. Parler de moi peut-être, mais ne pas faire des scandales, non. Dans la rue, on peut me surprendre à draguer une fille, ça ne me dérange pas. D’ailleurs, le seul moment où je ne drague pas, c’est devant les caméras, je reste toujours sérieux, c’est mon travail.

Il y a un an, une tornade est arrivée à Glenwood Springs. J’étais à l’université à Chicago lorsque ça s’est passé. Ma mère a rencontré cette tornade et à finit à l’hôpital. Mon père m’a aussitôt appelé pour me prévenir et je quittai directement les cours pour prendre le premier avion direction le Colorado puis prit un taxi pour aller à l’hôpital. Et en entrant dans la chambre de ma mère, je découvris mon frère pour la deuxième fois de ma vie. Il n’avait pas changé par contre et ressemblait de plus en plus à notre père. La première fois que je l’ai rencontré, je devais avoir dans les dix ans. Il n’était pas resté longtemps, mais assez pour que je comprenne qu’il ne voulait pas de moi dans sa vie. Et assez pour faire comprendre qu’il ne voulait pas non plus de ma mère. Au moins je n’étais pas seul à être rejeté. En le voyant dans la chambre, je fis vite demi-tour pour aller dans la salle d’attendre et d’attendre qu’il finisse avec ma mère. Et pourquoi était-il revenu ? Surement pas pour ma mère parce qu’elle allait mal. Mais voilà maintenant que depuis un an il était revenu, qu’il vivait avec notre père et ma mère alors que moi j’avais finis mes études. Mon père m’avait offert une autre voiture et un appartement pour l’obtention de mon diplôme. Et tous les dimanches depuis un an, je dois manger avec lui et après j’ai rendez-vous avec ma psychologue pour lui dire que je ne peux pas le regarder dans les yeux sans que j’ai envie de lui donner un coup de poing.

Je te valide Par contre il est mégalo le petit Tyler "Je fais surement partit des hommes les plus sexy et les plus riche de la ville, ainsi que d’être le plus jeune homme sexy et riche. Je dois même être le seul."



Maintenant que tu es un pur habitant de Glenwood Springs, tu as plusieurs choses à faire pour bien t'intégrer. Après ta validation, certains points te seront automatiquement attribués. Par la suite, tu pourras en demander d'autres dans ce sujet. Si tu veux te créer un scénario ou rechercher des liens précis, le mieux serait de te rendre dans ce sujet. N'oublie pas d'aller recenser ton métier et de te faire un logement, ainsi qu'une fiche de liens ! Et surtout, n'oublie pas de t'amuser parmi nous, petit chou, en espérant que tu te plaises chez les fous